Régine Monod

Régine Monod

Trouver notre place et nous épanouir, puis devenir contagieux !

Je suis toute jeune retraitée, active comme beaucoup.
Après avoir travaillé en coopération en Algérie ou j’enseignais et dirigeait les mémoires en parasitologie à l’Université d’Oran, je suis revenue en France pour élever mes 4 enfants. Je me suis alors consacrée à la difficile gageure de préparer les jeunes aux redoutables concours qui ouvrent la porte des écoles paramédicales mais en privilégiant la coopération plutôt que la compétition. Les résultats et les retours des centaines d’étudiants accompagnés sont ma plus belle récompense.
Depuis 15 ans, je pratique, avec 2 de mes enfants, un art martial chinois qui a changé ma vie en m’apportant équilibre, sureté de soi et une santé rarement mise en défaut… je peints également et dirige une association dont l’objectif est la reconnaissance d’un grand peintre femme Montpelliéraine du siècle dernier, Richarme, rejetée dans l’ombre à l’époque par ses collègues masculins.
L’art martial, comme la peinture m’ont donné envie de me plonger dans le monde fascinant de la calligraphie chinoise, et après avoir essayé 2 ou 3 méthodes, j’ai découvert le plaisir d’apprendre en m’amusant auprès des petits mandarins. Bravo pour cette idée géniale qui rejoint les astuces que j’inventais pour aider mes élèves à réussir !

Le Mei Hua Zhuang, un art martial Chinois

Publié le mardi 15 août 2017

Envoyez nous vos articles !